Regarde une feuille de personnage

Nom :

Eolia

Race :

Elfe

Allégeance :

Elle n'a prêté allégeance à aucun des camps; elle est neutre!

Côtés coeur :

Rien... Le vide total...

Histoire :

Eolia est née dans un petit village du nom de Elgarthir ( Ceci est un village complètement inventé par moi ). Ce village n’était situé sur aucune carte, tellement il était petit. Là-bas, tout le monde se connaissait et vivant agréablement. Malgré cela, Eolia était une petite fille renfermée, qui n'avait pas beaucoup d'amis et, malgré la gentillesse de ses parents, n'avait jamais reçu de réelles preuves d'amour. La mère d’Eolia était une couturière qui travaillait à la maison. Son père, un forgeron qui était toujours de bonne humeur et très sympathique. Du moins, en apparence… En vérité, le père d’Eolia était un homme cruel et sans pitié qui travaillait pour Galbatorix. Il n’hésitait pas à battre sa femme à toutes les occasions possibles en lui disant que si elle le disait à quelqu’un, il la tuerait. Mais ça, il n’y avait personne qui le savait, même pas Eolia. Un soir, Eolia était dans son lit et n’arrivait pas à s’endormir. Elle décida d’aller voir sa mère pour lui demander un verre de lait chaud. Elle sortit de sa chambre et se dirigea vers celle de ses parents. Elle entendit alors un bruit sourd et un cri étouffé. * Mais qu’est-ce que c’est que ces bruits? * S’interrogea-t-elle. Intriguée, elle continua à se diriger vers la chambre de ses parents. Elle entendait de plus en plus de bruits étranges et commençait à avoir peur. Elle prit garde à faire le moins de bruits possibles en marchant. Elle arriva en face de la porte de ses parents. * Devrais-je l’ouvrir? * Se demanda-t-elle. Elle regarda fixement la porte, indécise. Elle vit alors qu’elle était déjà entrouverte. Elle entendait de plus en plus de cris étouffés. * La porte est déjà ouverte, je ne fais rien de mal! * Se dit-elle pour se motiver Elle poussa alors doucement la porte. La porte grinça un peu et elle se figea. Si ses parents la voyaient là, elle allait sûrement être punie et elle ne voulait pas cela. Elle resta sur place pendant quelques minutes, attentive aux moindres bruits de la maison. Mis à part les bruits étranges, elle n’entendit rien d’autre. Ayant entrouvert un peu la porte, elle s’agenouilla en face d’elle et regarda dans la chambre. Elle vit son père, une ceinture à la main, qui donnait sans relâche des coups à sa mère, qui était pourtant effondrée par terre. Il frappait, frappait et frappait, sans jamais arrêter… On ne voyait dans son visage que cruauté et… Plaisir ! Plaisir de battre sa femme, plaisir de voir quelqu’un de soumis à ses genoux, le suppliant d’arrêter en pleurant. Les sentiments d’Eolia changèrent bien vite. D’abord la peur, la peur de voir son père, habituellement si gentil faire preuve de cruauté. Ensuite la surprise de voir quelqu’un faire tant de mal et en prendre plaisir. Il y eut aussi l’admiration. Elle était jeune et facilement impressionnable. Elle vit le contrôle que son père avait sur sa mère et envia un peu cela, elle devait l’avouer. Mais elle se rendit compte que son père n’avait pas tant de contrôle sur sa mère. Le problème était sa mère. Elle était si faible ! Elle n’était même pas capable de se défendre ! Et son père… Il se croyait "bon" d’avoir le contrôle sur cette faible femme en plus ! Ses deux parents finirent par la dégoûter. Elle se demanda pourquoi elle restait encore avec eux. Son père n’était que cruauté et avait le pouvoir mais elle trouvait cela idiot qu’il prenne plaisir à commander une femme si faible. Elle ne voyait pas en quoi cela pouvait le contenter… Et sa mère ! Elle n’était même pas capable de se défendre ! Dégoûtée par ce spectacle, elle retourna dans sa chambre sans faire de bruits. Elle décida de prendre ses affaires et de s’en aller de chez elle. Elle n’avait rien à faire avec cette bande d’idiots ! C’est ainsi qu’Eolia partit de chez elle pour devenir une voyageuse sans toit ni famille, vacillant entre le bien et le mal, trouvant que de toute manière, ces deux côtés étaient faibles et qu’ils ne méritaient pas de l’avoir dans leur rang. Pendant ses longues années d’exiles qu’elle s’était elle-même infligées, elle eut le temps d'apprendre à se débrouiller elle-même et à ne compter que sur soi-même. Au bout d'un moment, elle se débrouillait sans avoir besoin de parler aux gens ou, quand il le falait, d'une manière plutôt laconique. Elle a déjà essayé de se trouver un maître pour lui apprendre le maniement des armes et en a trouvé un. Elle lui fit promettre, naturellement, de ne pas dire à personne qu'elle apprenait chez lui ces techniques. À la fin des "techniques de bases", il lui donna sa propre épée. Mais, à peine commençait-il à lui apprendre des des choses un peu plus compliquées qu'elle s'enfuit de chez lui car elle commençait à se douter qu'il avait rompu sa promesse.

Dons particuliers :

La magie des elfes.